Trio en salle d'eau

Rose poussa doucement la porte de la salle d'eau, celle ci était vaste et richement décorée. Une énorme baignoire au pieds en forme de pattes de lion était au centre du mur gauche, le sol dallé de marbre était si propre qu'on y voyait presque s'y reflèter la fresque du plafond...décidemment, on appréciait beaucoup la peinture au dessus de la tête en ce temps là ; à coté de la baignoire se tenaient deux chaise de bois sculté et sur le mur de droite, un imposante coiffeuse couverte de brosses et de flacons de parfums, Rose s'en approcha et ouvrit distraitement un tiroir, découvrant des bijoux. La salle de bain était apparemment bien équipée. Elle se sentait calme et curieusement dans son élément, le stress avait disparu emportant avec lui l'envie de se faire un rail...elle soupira d'aise. D'un geste un peu irréfléchit, elle se détacha les cheveux qui lui tombèrent en cascade sur les épaules libérant les petite paillette qu'avait laissé la laque qu'elle avait mis pour le bal. Son cou lui faisait mal, ça devait être avec toute cette tension qu'elle avait accumulé les dernières heures. Elle se tourna vers Hiroshi qui se tenait encore dans l'encadrement de la porte.
Y avait il un service spa à Versaille ? Le massage existait il seulement ?
Elle toussota

- Hum...heu, il y a t-il des services massages au chateaux ?

MERDE ! Mais elle ne pouvait pas se retenir non de dieux !! Sortir une connerie pareille ! C'était digne de Juliette ça ! (par ailleurs, celle ci était à coté d'elle et la regardait, le ponpon)
Elle se mordilla la lèvre inférieur avant de reprendre très vite.

- Non mais parcequ'en fait, dans notre ville...enfin je veux dire notre province enfin je..bref...je

ELLE ???? Elle ROSE begueillait ? Rien n'allait plus, la jeune fille au teint déja ivoire vira au blanc translucide. Elle fixa son regard sur la baignoire (vide), roula des épaules et se repris.

- Merci de nous avoir ammené, serait il possible de remplir la baignoire ?

Okay...peut être vallait il mieux simplement se taire, elle suppliait Juliette interieurement pour que celle ci, en tant que pros des gaffes, soit capable de rattrapper le débit de conneries qu'elle venait de sortir. Bon courage....

Rose poussa la porte de la salle de bain et y entra , Juliette la suivit. Au centre de la pièce se trouvait une immense baignoire, magnifique. Le sol était si brillant et si propre que Juliette pouvait se voir dedans, Rose s'approcha ditraitement de la coiffeuse, Juliette l'y suivit encore une fois , touchant un peu à tout , le parfum , les poudre, les sels de bain , le pompom [HJ: mdr]. Rose détacha ses cheveux , et se tourna vers Hiroshi , lui demandant si il y avait un service massage au chateau . Quelle c***e ! Même Juliette n'aurait pas été capable de sortir ça ...quoique si elle en avait sortit de pires. Elle jetta un regard paniqué à Rose qui tentait en vain de se rattrapper .

Juliette n'était même pas sure que les massages existaient à l'époque , et si c'était le cas ce n'était peut être pas très bien vu0. Rose s'enfonçait de plus en plus dans sa betise et se mis même à bafouiller ! Heureusement Juliette était devenu une expert dans "le rattrappage de conneries" et s'empressa d'ajouter d'un ton mesuré et plutôt assuré

-Dans notre province , nous pratiquons beaucoup le massage des mains , il parait d'après les intellectuelles d'aujourd'hui que rien qu'en détendant le bout de ses doigts , celà se propage dans tout le corps , c'est fou n'est ce pas ?

Juliette pensait qu'un massage des mains était ce qu'il y avait de moins choquant. Elle avait vraiment besoin de s'occuper plutôt que de rester plantée debout sans rien faire , et releva alors sa robe pour défaire ses chaussures, dévoilant une bonne partie de ses longues et fines jambes , elle se rapella alors qu'une dame n'était même pas censé montrer ses chevilles, elle laissa brusquement retomber sa robe , sa chaussure à moitié défaite .

Ouaou! Qu'est ce qu'il avait un mal de tête! Edward, ouvrit les yeux. Il se rendit compte qu'il était étendut par terre, sur un sol dallé de marbre, dans une pièce qui ressemblait à une... salle de bain?! Il avait dût recevoir un grand coup sur la tête! Mais si c'était le cas, il ne le saurait jamais, car il ne se savait pas ce qu'il faisait là! Ses dernieres souvenirs remontaient alors qu'il était au bal de la promo du lycée. Il était assis sur une chaise, à part, et regardait Juliette Deauclair, hésitant à l'approcher pour lui proposer une danse. La demoiselle discutait avec des amis, et Edward l'observait depuis un moment déjà. Au bout d'un quart d'heure à attendre, il s'était levé et avait commençé à se diriger vers elle... Après, c'est le trou noire. Comment était t'il attérit ci, il n'en avait aucune idée. La seule chose qu'il avait récolté était un très grand mal de tête. Super. Le jeune homme se redressa. A côté delui il y avait une baignoire! Et elle semblait très vieille d'ailleurs! On aurait dit une baignoire qu'on verrait très dans une salle debain d'un vieux château datant du Moyen Age! Le jeune homme, qui était assis, entendit alors des voix. Il écouta et crût recconaître deux des voix féminines qui parlaient... Les seuls mots qui atteignirent son cerveau étaient "château" et "massage". Oulà! Il devenait dingue si il commençait à entendre des voix dans sa tête... a moins qu'il faisait un rêve? Oui, ce devait être ça. Il se pinça alors très fort. Le seul résultat fût qu'il se fît mal au bas. Ok. Ce n'était pas un rêve. Mais où avait t'il attérit? Il se leva, pouvant enfin voir les personnes qui parlaient. Il y avait trois personnes: un homme et deux femmes. Si il connaissait pas l'home, il recconût les deux jeunes filles et fût surpris d'entendre Juliette parler ainsi. Alors que son amie finissait de parler, il prit la parole.

- Juliette? Rose? Mais où est ce que l'on est?

Il ne se rendait pas compte qu'il venait de commettre une grosse gaffe, et si il le savait, il s'en serait mordu les doigts! Mais n'étant pas au courant, il regarda, perplexe, les deux filles fairent une grimace bizarre quand il prit la parole. Si Juliette avait réussis à rattraper Rose lorsqu'elle avait fait une gaffe, pour lui, ce serait plus difficile de trouver une escuse!

A l'instant ou Juliette laissa retomber sa robe sur ses chevilles, quelque chose remua de derrière la baignoire et quelle ne fut pas la surprise de Rose de voir Edward en sortir ! A son air perdu, Rose devina qu'il venait de se réveiller, la totale.
Evidemment, il leur demanda ce qu'ils faisaient là. Complètement affolée par cet enchainement de gaffe plus grosses les unes que les autres devant Hiroshi, la jeune fille tripota machinalement sa mèche de cheveux avant de s'exclamer, peut être une peu trop fort.

- EDWARD très cher !!!!! Vous étiez donc ici ? Il faut absloluement que 'lon trouve un remède à vos problèmes d'évanouissement !

Pitoyable...mais dit sur un ton plutôt naturel. Elle regarda le jeune homme intensément, espérant qu'il jouerait le jeu. Tout cela était vraiment fou...de plus, tous les corpas n'avaient apparemment pas attéris dans la galerie des glaces, ça n'arrangeait pas leurs affaires...et si les nobles découvraient les autres étudiants avant eux ? Ils se feraient exécuter ou...deviendrait des bêtes de foire ou...enfin bref, rien de bon.
Elle avança vers Edward, toujours en le regardant de cet air suppliant qui veut dire, ne fais rien qui pourrait agraver la situation !!

Alors qu'elle laissa brusquement retomber sa robe , Julliette entendit quelque chose remuer derrière elle , elle se retourna pour apercevoir ...Edward? Elle resta un instant figée la bouche entrouverte, elle n'arrivait pas à croire qu'il soit là, elle avait cru qu'elle ne le reverrait pas avant un bon bout de temps. Il demanda ce qu'il fesait ici , et Rose répondit quelque chose que Julliette n'écouta même pas, bien trop occupée à contempler Edward.

Sans réfléchir à ce qu'elle fesait elle s'élança vers lui et lui sauta au cou

-EDWARD !

Elle savait bien sur que pour lui ce geste ne signifiait rien , qu'elle lui sautait au cou comme elle aurait sauté au cou de n'importe qu'elle amie, mais pour elle c'était bien plus que ça. Sa présence ici la rassurait. Elle se rapella alors de choses qu'elle avait oublié, le bal de promos. Elle se souvenait qu'elle était en train de parler avec des amies, peut être avec Laure, qu'un slow avait démarrer et qu'Edward s'était dirigé vers elle. Puis plus rien, ce fichu voyage dans le temps avait peut être gaché un moment qui aurait été un des plus beaux de sa vie ! La vie était injuste!

Evidement, Edward venait de se réveiller, et il avait un de ses grands mal dde tête, ce qui l'empéchait de réfléchir et de raissoner convenablement. Aussi lorsque Rose l'appela "très cher", tout en criant son prénom, ce qui n'arrangea pas on mal de tête, il crut halluciner. Depuis quand l'appelait t'on "très cher"? On aura tout vu! Il allait lui demander pourquoi elle l'appelait ainsi, lorsqu'elle rajouta qu'il faudra trouver un problème à ses évanouissements. Là, Edward crut que son cerveau allait exploser. Quels évanouissement? C'était la première fois que cela lui arrivait! Perplexe, il commença à demander à Rose:

Quels évanoui...

Et fût interromput par un autre grand "Edward!". Il n'eut pas le temps de réagir que déjà, Juliette s'élançait vers lui et lui sautait au cou. Eberluée, et se disant qu'il aurait de la chance si son mal de tête parvenait à partir avec tout ce remue-ménage, il faillit mourir atranglé. Pourquoi Juliette le serrait t'elle comme ça? Il venait juste de se voir!C'était à ne plus rien y commprendre... Il remarqua alors les tenus étranges de ses deux amis, et vit qu'elles avient des robes! Et pas n'importes quel robes! Des robes du temps de... Louis XIV! Tout s'éclaira dans son esprit. Serait t'il revenu au temps de Louis XIV? Apparament oui. Il observa le décor autour de lui. Ils étaient à Versailles! Incroyable... Il souria alors, et s'adressa aux deux jeunes filles. C'était un excellent comédien!

Je suis heureux de vous revoir gentes dames. Votre présence m'a été douloureure, et mon coeur cri de joir de vous revoir enfin après tant d'absence! Pour mes problèmes d'évanouissement, il va de soit qu'il faut que je trouve un remède! Mais cela n'est pas pressant.

Et bien! On peut dire qu'il venait de rattraper le cou! Il reprit alors la parole, s'adressant uniquement à Juliette. cette fois, il n'eut pas à jouer la comédie, il était sinçère.

Damoiselle Deauclair, mon coeur ne bat plus que pour vous. Mon coeur vibre de joie de vous voir enfin après tous ses longs mois sans vous voir! Je revis à vos côtés.

Il l'aimait vraiment. Si il dévoilait ses sentiments, bien que Juliette et Rose croirait que c'était pour donner une raison au fait que Juliette le serre dans ses bras, ces paroles étaient véridiques. Rendant son étrinte à Juliette, il inspira un grand coup de son merveilleux parfum si envoutant, et dût se retenir contre les pulsations de son coeur qui voulaient l'embrasser. Mais il se retint et se leva. Puis, se détachant de la belle jeune fille, il se dirigea vers l'homme qu'il ne connaissait pas et pense qu'il devait guider les deux jeunes filles?! Il le salua, tout en s'inclinant légèrement:

Je suis honorée de faire votre connaissance. Je suis le compte Archibald. Je vient de la même province que ces deux ravissantes damoiselles.

Il aurait vraiment mérité un oscar du meilleur acteur de l'année pour sa performance! Il faut dire que Edward est un garçon très rusé, et il sait toujours comment se sortir des situastions embarrassantes! Sauf quand il s'agissait d'avouer ses sentiments pour de vrai à une fille. Là, il devenait plus... timide. Mais pour le moment, le "compte Archibald" s'en sortait à merveille!

Juliette s'était jetée au cou de Edward et Rose avait avalé de travers, pendant qu'elle partait dans une quinte de toux la plus discrète possible, Edward, apparemment très intelligent à ce moment là, réussi à rattraper le coup quasi instantanément, puis il parla de son coeur et de Juliette...C'était bizarre. Rose le fixa un petit moment, celui ci dévorait son amie des yeux, en suite il salua Hiroshi (qui devait être pour le moins interloqué). "Mon coeur ne bat plus que pour vous...", le moment n'était pas forcément bien choisit pour faire une déclaration...d'amour ? Edward...amoureux...Juliette...les informations se formèrent peu à peu dans l'esprit de la jeune fille. Serais-ce possible ? Après tout, vu l'ardeur avec laquelle Juliette avait accueilli leur camarade, il avait toutes ses chances.
Perdue dans ses soupçons, elle regarda par la fenêtre, le soir tombait sur le chateau, ils avaient rendez-vous au Q.G.
Bon...retrouver la galerie des glaces...ça s'annonçait joyeux.

- Excusez moi Monsieur Hiroshi, mais je viens de m'appercevoir que je n'ai pas de robes de rechange, je vais retourner dans ma chambre en chercher. elle se tourna vers Juliette. Oh ! Mais vous non plus ma chère ! Edward, auriez vous l'obligeance de nous conduire s'il vous plait ?

Et voilà, normalement, avec ça, ils seraient au moins à l'exterieur, elle attrapa la main de Juliette, fit signe à Edward de la suivre et sorti de la salle de bain sous l'oeil étonné d'Hiroshi. Puis, elle se tourna vers ses amis.

- Bon, il faut aller au Q.G le plus vite possible, on a manqué le début de la réunion...tout le monde doit être mort d'inquiétude.

Par habitude, elle tapa la bise à Edward, comportement qui contrastait fort avec celui de la minute précédente.

- Heureuse de te revoir, grouillons nous, on t'expliqueras tout là bas.

Julliette relacha doucement Edward, elle commençait à l'étrangler, puis elle dirigea son regard dans le vague. Lui regardait autour de lui, il sembla comprendre ou il était, sans même qu'on lui explique, ce type était vraiment génial. Il répondit alors que les voirs lui fesait très plaisir et qu'en effet il fallait trouver un remède à ses problèmes d'évanouissement.

Il jouait plutôt bien la coméie, mais semblait avoir du mal à réaliser ou il était. Il s'adressa alors à elle, il commença par lui dire que son coeur ne battait que pour elle. Julliette sentit son propre coeur faire un noeud, c'était une pure torture de l'entendre dire ces mots, qu'elle avait longtemps attendu, tout en sachant qu'il disait ça uniquement pour jouer la comédie. Il continua en disant qu'il revivait à ses cotés, que son abscence lui avait été douloureuse...

Julliette essayait d'ignorer le noeud qui s'était formé dans sa gorge, si elle avait pu elle se serait bouché les oreilles. A quoi bon écouter l'homme qu'elle aimait lui déclarer sa flamme, si elel savait que cétait de la comédie ?

Pourtant elle aurait aimé y croire, elle aurait voulu se raccrocher à lui, à son amour pour se sentit moins perdue. Elle aurait aimé croire que la lueur qu'elle voyait dans les yeux d'Edward tandis qu'il pronnonçait ces mots, cette lueur qui semblait être celle d'un amour passioné, n'était pas le ruit de son imagination. Alors qu'elle était presque sure qu'aucune lueur ne brillait dans ses yeux, elle voulait seulement en voir une, et son imagination lui jouait des tours ...

Quand il s'arrèta elle se rendit compte qu'il allait falloir qu'elle réponde, qu'elle dise à celui qu'elle aimait, qu'elle était amoureuse, tout en sachant qu'il ne la prendrait pas au sérieux, c'était trop dur de faire ça. Ca lui fesait mal de savoir qu'elel allait pour la première fois de sa vie, montrer ses sentiments à quelqun, qu'elle allait se dévoiler comme elle ne l'avait jamais fait. Julliette était une fille qui ne se laissait pas prendre par ses émotions, c'était une fille forte, toujours de bonne humeur, dure comme de l'acier, c'est comme ça que les autres la voyait. Et pour la première fois ou elle se dévoilait, elle devait le faire pour de faux... c'était dégueulasse!

-Cher Edward, vos sentiments sont partagés, et votre présence ici me réchauffe le coeur

Son ton était métrisée, tout comme sa voix, elle ne laissait passer aucune émotion, comme elle l'avait toujours fais. Seulement ses yeux la trahissaient, ils brillaient. Ils brillaient à les fois des larmes qu'elle s'éfforçait de ne pas verser, et à la fois de cette même lueur qui animait ceux d'Edward. Rose la tira de ses pensées en disant à Hiroshi qu'elle n'avait pas de robe de rechange, et que Julliette non plus d'ailleurs. En effet, elles n'avaient pas d'auters vêtements, et celà leur causerait surement des problèmes plus tard, mais c'était aussi un exellent prétexte pour rejoindre les autres au Q.G.

Puis, Rose fit la bise à Edward, gaffe que Julliette en tenta même pas de rattrapper, et tous les trois se dirigèrent vers la sortie

[Edward on te laisse finir le sujet ? ]

Edward ne pouvait pas deviner l'effet qu'il avait produit sur Juliette. Il s'était contenté de jouer son rôle, bien que même si personne ne le savait, il avait fait bien plus que ça. Ses paroles étaient véridiques, et même si il savait que les deux jeunes filles penseraient que ce serait pour rattraper le coup, ce qui était vrai, cela n'empéchait pas que ce qu'il avait dit, il le ressentait vraiment. Ce qui lui faisait mal, c'est qu'il avait dû user de tout son courage pour lui faire cette déclaration, et il devrait reccomencer plus tard, du moins, si il en trouvait l'occasion et la volonté. Annonçé ses sentiments à Juliette l'avaient en quelques sortes vidés de ses forces.

Après ces paroles pour le moin brulantes, il attendit que Juliette lui réponde. Il avait la partit qui lui était réservé, à elle de jouer la comédie pour ne pas briser leur camouflage. Il ne fût pas déçu. Elle jouat la comédie à merveille, et lui dit que ses sentiments étaient partagés et que sa présence ici lui réchauffait le coeur. A ces mots, il ne pût s'empécher de rougir. Heureusement, personne ne le remarqua, mais les paroles qu'avaient prononçées la jeune fille restèrent graver dans sa mémoire. Il aurait tant voulu que ce qu'elle lui disait soit vrai, qu'elle ne jouat pas la comédie, qu'elle l'aime comme lui l'aimait. Il fût tout de même surpris, Juliette s'en sortit très bien, et personne n'aurait pû deviner qu'elle mentait. Il sentit un noeud se former dans son ventre. SI il avait été plus attentif, il aurait remarqué que les yeux de celle qu'il aimait vraiment brillaient, et qu'une lueur animait ses yeux. Mais il n'osait pas croiser son regard, il n'avait pas le courage d'affronter ses yeux, car il avait peur de ce qu'il y verrait. Il avait remarqué cependant que son ton était un peu sec et ne laissait passer aucune émotion, ce qui l'avait chagriné. Lui en voulait t'elle d'avoir voulu jouer les faux amoureux pour ce sortir de ce pétrin dans lesquelq ils s'étaient fourrés? Il espérait que non, mais ne pouvait se cacher la vérité. Si sa se trouve, elle lui en voulait à mort. A cette pensée, il sentit se coeur se déchirer. Non, il ne devait pas penser ça, ça ne le rendrait que plus triste, et si sa se trouve, il avait mal entendu! Juliette ne montrait presque jamais ses émotions, un peu comme lui... Ils étaient si différent, mais pourtant si proches. Alors qu'il continuait de se lamenter sur son sort mentalement, continuant de jouer le jeu, et saluant l'homme qui accompagnais les deux jeunes filles,Rose fît son inervention, il l'entendit dire à "Hiroshi" une escuse pour se défiler et lui fausser compagnie. Elle lui demanda par la même occasion si il "aurait l'obligeance" de les accompagner. Retrouvant un sourire aux lèvres, il lui répondit tout en s'incliannt:

Bien sur Dame.

Puis se tournant vers l'homme qui apparament s'appelait "Hiroshi', il fît de même en le saluant:

Au plaisir de vous revoir.

Puis, il tourna les talons, suivant Rose et Juliette en dehors de la pièce, abandonannt Hiroshi derrière eux. Rose lui décrocha alors un bisou sur la joue pour le saluer, auquel Edward ne réagit pas, encore trop préocupé par Julette. Dans ce qu'elle lui dit, il ne distingua que lesm ots "QG", "réunion" et "tous le monde doit être mort d'inquiétude". ela signifiit t'il qu'il n'y avait pas qu'eux? Il n'allait sûrement pas tarder à le savoir! Faisant confiance aux deux jeunes filles, il les suivit sans poser de questions. Il questionnerait plus tard.

[Ok! Fin du sujet! ^^ ]